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Tu manges quoi ? - Zzeit
Vivante La Faucheuse
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Vivante La Faucheuse

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@Zzeit Zeitlosen & Vivante

Tu manges quoi ? - Zzeit  Giphy
Aurait-elle pu gagner la médaille de sœur de l’année ? Certainement pas. Pourtant Vivante s’était toujours demandé pourquoi personne de sa famille ne semblait l’apprécier. Infinie l’avait automatiquement détestée, il était vrai qu’elle avait tendance à tirer la couverture vers elle, pourtant sa grande sœur avait une bien meilleure situation que la sienne, un boulot bien plus gratifiant. Zzeit et elle semblait oublier qu’il n’était pas toujours facile de faucher les autres. Vivante n’était pas un monstre, il lui arrivait de s’attacher, il lui arrivait de ne pas vouloir que quelqu’un ou quelque chose arrête sa vie actuelle. Pourtant tout le monde s’était passer le mot pour lui le lui reprocher. Et quand elle avait le malheur de le faire son fameux travail voilà qu’on lui disait qu’elle n’aurait pas dû. Toujours insatisfaits. Certes les quarante-et-une filles de Baba Yaga ne méritait pas de finir en torche humaine, mais est-ce que c’était de sa faute après tout ? Il y avait pire à déplorer dans l’humanité, et de toute façon ils étaient bien mal placer pour critiquer. Infinie avait rendu quasi-stérile les Vampires et Zzeit eh bien, lui, il se permettait d’arrêter la vie des gens qui ne lui revenait pas. Et puis Murphy, vraiment, Murphy ? Elle avait dû le couvrir, prendre la responsabilité et il l’a remercié comment ? Il enfermait dans un placard tout les cadeaux qu’elle lui faisait. Était-il de bon goût ? Non. Mais tout de même ! Bon il n’était pas au courant, elle avait était très bonne pour dissimuler les choses. A la réflexion elle aurait dû lui dire, mais après tout, il fanfaronnait toujours en se croyant le plus malin, il n’avait qu’à s’en rendre compte tout seul.

Dans tout les cas Vivante n’était pas ravie de son sort, elle essayait tant bien que mal de lier des relations avec eux, mais cela ne servait à rien. Par contre ces deux zouaves s’entendaient comme larron et foire hein. Il avait même oser rester ami avec Daemon, ce qui en soit était totalement stupide. Il était peut être la plus grande déception de sa vie, Daemon, lui, elle l’aimait profondément. Elle ne savait pas trop comment, pourquoi ni en quoi cela consistait, mais c’était peut être du même niveau d’amour qu’elle avait éprouvé pour les Dinosaures. Le fait est qu’il ne lui parlait plus, que sa grande-sœur la haïssait et que son frère, et bien son frère… Elle ne lui avait pas non plus pardonné certaine chose. Alors Vivante était seule, profondément seule, et même le Yéti et ses enfants ne lui donnait pas autant l’impression d’être une famille qu’elle le voudrait. Résumons donc, en plus de s’ennuyer La Faucheuse était seule, ambiance.

Pour le moment elle guettait le moment ou Zzeit daignerais sortir de son bureau. Il avait osé, et surtout réussit, à trouver un maléfice pour l’empêcher de rentrer dans son antre. Sûrement sur un plan astral qu’elle ne pouvait atteindre. Le fait est que ce n’était pas faute d’avoir essayé cependant Vivante n’avait jamais, ô grand jamais réussit, à rentrer ni dans l’appartement ni dans le cabinet du Temps.  Elle l’épiait donc pour savoir quand et où il allait sortir. Ce qui était marrant c’était bien que leurs dons respectifs ne marchait pas l’un sur l’autre, une sorte d’égalité entre Entité visiblement, et qu’il était donc impossible de lire dans leur esprits respectifs ou de le localiser à distance. Elle l’avait donc perdu et elle commençait à en avoir marre, elle avait besoin de lui parler, et les parties de cache-cache ne l’amusait que quand elle gagnait. Il ne semblait pas être dans son bureau puisque tout ceux qui avait osé frapper n’avait obtenu aucune réponse. Vu l’heure de la journée son appartement lui semblait improbable et elle était déjà aller voir dans le bureau de Murphy. Elle ne lui parlait jamais, elle se contentait de passer à ses côtés en le fixant de son regard le plus noir. Le pauvre.

Vivante entreprit donc de parcourir l’intégralité de l’Entreprise dans l’espoir de le trouver. La tâche fut ardu, néanmoins elle gagna la partie qu’elle s’était elle même créé. Il était dans la cafétéria, plutôt amusant comme choix de lieu où se rendre. Elle se téléporta donc derrière lui dans une explosion de paillettes et tapa dans ses mains satisfaite.

- JE T’AI TROUVÉ  !

Un sourire triomphant alors qu’elle défroissa sa robe pull verte émeraude.

- Tu fais semblant d’être humain en venant manger ici ? Tu ne trompes personne tu sais Zzeitou.


Ven 6 Déc - 14:03
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Zzeit Zeitlosen
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Zzeit Zeitlosen



Spätzle


Vivante & Zzeit

Si seulement j'avais su qu'elle relèverait tous ses extraits de l'année, Je l'aurais poussée et coincée dans la porte automatique.

Les spätzle. Les spätzle sont une préparation culinaire de pâtes de la région rassemblant l'Allemagne du Sud, la Suisse, l'Italie alpine, l'Autriche de l'ouest et l'Alsace-Moselle. On pense souvent que cela vient principalement d'Alsace, alors qu'au fond ils ont juste eu la bonne idée de prendre uniquement ce qu'il y avait de bien en Allemagne en en oubliant les mauvais côtés, et encore... Mais en vérité il s'agit là d'un plat sous-côté et pourtant grandement appréciable qu'il est bon de savourer en PAIX, à l'approche de l'hiver.  Spätzle, pour la petite histoire est un mot souabe, diminutif de Spatzen qui signifie « moineaux ». On doit ce nom au fait que, lorsque les spätzle sont cuits et mis dans une assiette, cela ressemble à un nid de moineau. C'est amusant non ? Un nid de moineaux. DE MOINEAUX. C'est intéressant les moineaux. Et puis le mot moineau, va étrangement bien avec le mot moribond. Le moribond moineau. On dirait une comptine pour enfant, la rythmique est bonne mais la signification laisse à désirer... BREF.

Pourtant, les Spätzle sont une variante plus fine et allongée des Knöpfle, ou Knepfle, qui signifient « petit bouton »,  dans de nombreux dialectes de l’allemand supérieur, comme le bas-alémanique ou le souabe, et qui prennent des noms locaux en Hongrie ou en Slovaquie. C'est un peu ce que les hommes n'arrivent pas à trouver chez une femme finalement des Knöpfle. Même si finalement on s'en fiche un peu. De fait, suivant les régions, les termes sont interchangeables, vu que finalement, si on se casse pas trop le cul, ça désigne simplement un plat de pâtes aux œufs servant d’accompagnement aux plats en sauce. Mais, je n'aime pas trop les Knöpfle. Non je préfère les  Spätzle. Les Knöpfle c'était trop proche de ces conneries de gnocchis.

Seulement voilà, dans cette entreprise à la con, à la cafétéria, quand on pensait à servir un putain de plats traditionnel allemand, autrement-dit des Spätzle, à chaque fois, à chaque PUTAIN DE FOIS, un connard se disait que remplacer la douceur de ces pâtes faites à la main par de courageux artisans, revenues dans la farine, arrosées d'un jaune d’œuf et servies avec leur compote de paume et leur sauce bien dosée, par des fichues GNOCCHIS A POÊLER DE LUSTUCRUC, c'était une merveilleuse idée. HAHAHAHAHA. C'était la précisément la raison pour laquelle chaque jour je me faisais livrer un plat préparé directement dans mon bureau.

Mais trop, c'était trop. A mener mon enquête en fixant les caméras des cuisines, j'avais trouvé lequel de ces enfoirés remplaçait mes merveilleuses Spätzle par ses putains de Gnocchis de merde. Et j'avais noté son nom. Je l'avais suivit jusqu'à chez lui, puis, avec toute la rage que j'avais accumulé depuis des années, j'avais sonné à sa porte, et je lui avait juré que si je voyais encore des Gnocchis passer dans l'assiette des employés je les brûleraient vifs, lui et sa famille autant de fois qu'il le faudrait jusqu'à ce que Vivante daigne leur accorder le repos éternel.

Manifestement, j'avais été convainquant, car enfin, ENFIN, je sentis la douce odeur des Spätzle caresser mon nez jusque dans les bureaux de l'Ordre, tant, et si bien, que pour la première fois en des moi, j'étais sorti de mon bureau le sourire, aux lèvres, j'avais salué chacun de mes employés avec une jovialité excessive et je m'étais rendu le cœur léger à la cafétéria, où j'avais pris mon plat comme un enfant aurait pris une sucette en chocolat pour le savourez, seul, calmement, et en toute décontraction au milieu de ce merveilleux monde qu'était le restaurant salariale à l'heure où tout le monde était de sortie. J'avais même souhaité de joyeuses fêtes à ce cher Roger. Tiens je me demandais dans quel service il était actuellement...

Mais soudain, alors que je portais une première fourchée de ce délicieux met, une explosion de paillettes fines et multicolores embua ma vision, une odeur sucrée me donna la nausée suivit de  cette voix criarde, agaçante et trop pleine d'une joie excessive et forcée, me coupèrent en plein geste.

Vivante...

Je fulminais. Voilà mon moment de paix, si durement acquis parti en éclat en quelques secondes à peine a cause de mon vilain moustique de petite sœur. Je serrais la main d'énervement à en plier ma fourchette avant de me retourner vers elle avec un sourire crispé et caustique en réponse à celui triomphant, qu'elle arborait.

- Non Vivante, je savoure mon plat préféré dans un lieu de sociabilité. Enfin du moins j'essaie. Que me vaux l'honneur de la présence de ma SI CHÈRE petite sœur ? Dépêche toi d'accoucher. Mes Spätzle vont refroidir.

(c) DΛNDELION
Mar 7 Jan - 10:57
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Vivante La Faucheuse
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Vivante La Faucheuse

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@Zzeit Zeitlosen & Vivante

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- Non Vivante, je savoure mon plat préféré dans un lieu de sociabilité. Enfin du moins j'essaie. Que me vaux l'honneur de la présence de ma SI CHÈRE petite sœur ? Dépêche toi d'accoucher. Mes Spätzle vont refroidir.

Hum. Sujet sensible les Spätzles. On avait déjà fait remonter à Eugénie de nombreuses plaintes au sujet de Zzeit par les employés de la cafétéria. La DRH avait bien évidemment donné aucune suite de la situation mais avait quand même, par acquis de conscience, signalé le cas à Vivante qui en avait beaucoup ri. Alors La Faucheuse l'observa, un sourire énigmatique peint sur son visage de porcelaine. Restant droite face à lui et surtout mutique. Elle étira le silence au maximum, pendant peut-être une ou deux minutes, juste assez pour le rendre fou, mais pas assez pour qu'il ne quitte la table. C'était une science exacte, science qu'elle avait testé et approuvé pendant de longs siècles jusqu'à savoir parfaitement comment le faire sortir de ses gonds.

Et puis, enfin, elle rompu le silence en plongeant sa tête en arrière avant d'exploser d'un rire quasi-hystérique qui engloba la pièce, se répercuta sur les murs. Elle se tenu les côtes, tapa sa cuisse et continua son petit jeu jusqu’à ce que les rares employés restant, assez fou pour ne pas fuir dès qu’ils les voyaient ensemble, avaient prit leurs jambes à leur cou. Quand ce fut fait, aussi vite qu'elle avait commencé elle regagna son calme pour doucement tirer une chaise et s'asseoir en face de son frère, Vivante s’étira un maximum, se racla la gorge, avant de soutenir son visage entre ses mains frêles.

- Je suis contente de te voir et de t'avoir trouvé. Et avant que tu décides de chercher la sortie, j'ai déjà apposé le petit tour que tu as fait sur ton bureau à mon propos pour que ta seule réalité soit cette pièce.

Il allait finir par trouver la sorti, bien entendu, il était plus difficile d'empêcher une Entité de sortir plutôt que de rentrer. Mais Vivante pariait sur le fait qu'il n'aurait soit pas l'envi de se fatiguer, soit avoir créée assez de temps pour avoir le temps de lui parler convenablement.

- Mais tu peux manger hein, je t'en prie.

Lança t-elle un sourire acerbe sur le visage avant de déplier d'un seul geste la fourchette qui avait ployé sous la rage de son frère. Elle était en colère contre lui, pour tellement de raison qu’elle ne se sentait pas capable de le énumérer. Le rejet dont il faisait preuve à son égard notamment, était un des points les plus sensibles de son existence. Lui en voulait-elle plus qu’elle en voulait à Infinie ? Évidemment. Mais pourquoi ? C’était Infinie qui lui avait volé Daemon, c’était Infinie qui avait le plus mal réagis à son existence. Mais ce n’était rien, rien par rapport à ce que Zzeit avait fait. A sa suffisance de croire qu’il pouvait la gérer, qu’elle avait besoin d’être gérer même, à son manque de prise de partie. Il ne l’a soutenait pas, il la protégeait peut être, mais comme leur père, comme les Actionnaires à tête de chevaux, comme leur sœur, comme tout le monde ici il la croyait incapable. Incapable de quoi que ce soit et actuellement, alors que personne ne semblait vouloir seulement bien faire son travail Vivante en avait marre.

- Tu sais. Les murs ont des oreilles, mes oreilles. Et j’ai entendu des choses déplaisantes bien garder sous clé dans ton bureau.

Elle se pencha un peu plus sur la table, irradiante de colère. Il n’allait pas oser contrecarrer ses plans en plus que toute autre chose, il en était hors de questions. Son but, son jeu, elle le préparait depuis des décennies. Elle avait cherché les bonnes personnes, fait bouger chacun de ses pièces d’échec à la meilleure position. Elle avait tout prévu, chaque éventualité, chaque retournement de situation, tout sauf ça.

- Que tu me détestes passe encore Zzeit. Que tu te débrouilles pour qu’aucune de mes directives ne passent au sein de l’Entreprise, pourquoi pas. Mais vraiment, ça. C’est quoi ton problème ?

Et Vivante se radoucit instantanément, reculant légèrement pour faire apparaître sur la table un plat de lasagne brûlante ainsi qu’une bouteille d’un très bon rouge et deux verres de vins.

- Enfin… On devrait peut-être manger ensemble, ça fait longtemps. Ça ce bois avec du rouge ou du blanc ton truc allemand ?


Mar 7 Jan - 12:41
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