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Diane - Hier encore.
Diane L. Rosemont
Messages : 26
Date d'inscription : 09/12/2019
Age (Joueur) : 28
Sociopathe Officiel - ☠
Diane L. Rosemont
Colby Lake, forum RPG


Diane


avatar Colby Lake


Bienvenue sur Dear Reaper
Rempli bien ta fiche pour être validé(e)


Nom : Rosemont
Prénom : Diane Léopoldine
Surnom : //
Age : 36 ans - Morte à 15 ans
Genre: Féminin
Nationalité : Française de naissance - Américaine actuellement
Race: Humaine
Orientation Sexuelle: Pansexuelle
Situation Conjugale: Seule
Situation Familiale : Un "fils" de dix-huit mois, Tancrède
Situation Financière : Haute
Carnation : Porcelaine. Diane est bien trop pâle, conséquence de ses journées passés dans les sous-sols de l'UDC.
Taille : 168 cm
Corpulence : Plantureuse
Cheveux : Noirs encres, raides
Yeux : Noir encres
Signe distinctifs  : Rien. Enfin en dehors du fait qu'elle ressemble à un fantôme.
Profession : Docteure en création de CDNOs, dirige une équipe de chercheurs.
Groupe : Iguanodon

Un cri à pousser ? Des anecdotes ? :
- Le bureau de Diane a un escalier personnel qui remonte vers un recoins privatif de la Serre de RIP Pharma. Elle y cultive de nombreuses fleurs.
- Diane est la mère d'un enfant de dix-huit mois, Tancrède. Personne ne sait vraiment d'où il vient et ce qu'est cet enfant vu que Diane n'a était enceinte qu'une fois dans sa vie, et cela remonte il y a plus d'une décennie. Il semblerait au premier abord humain, les rumeurs disent qu'il a était créé de toute pièce par Vivante et Diane dans les locaux de RIP Pharma.
- Diane garde sous verre, sur un autel dédié, un cadre d'elle et d'un jeune enfant ainsi qu'une peluche de dromadaire.
- Diane possède un chat de l'Otherisde, FSCO (à prononcé Fésco) Plus grand qu'un chat terrestre, noir comme la nuit, il possède une mâchoire puissante, des dents un peu trop pointus et deux yeux blancs vitreux. Il traîne souvent dans les locaux de RIP Pharma est n'est pas vraiment ce qu'on pourrait appeler un animal agréable.

Feat : Morticia Addams - La Famille Addams



T'as quoi dans la tête mon chou ?


Distante • Maternelle • Sérieuse • Immorale • Séduisante • Réaliste • Minutieuse • Solitaire • Silencieuse • Talentueuse • Trompeuse • Serviable • Ponctuelle • Aimante • Percutante • Impartiale

- Que pensez-vous de l'Entreprise avant de savoir ce qui se passait dedans ?
J'avais quinze ans, j'étais en France, et de mon point de vue l'antenne locale était un peu comme un modèle réduis de La Chocolaterie de Willie Wonka. Vous savez, tous les adolescents de ma génération ne parlaient quasiment que de l'UDC et de comment nous allions tous y travailler plus tard.
- Si vous le savez, maintenant, qu'en pensez-vous ?
Je ne saurais vous dire si je suis déçu ou non, le fait est que je fais partie des meubles de RIP Pharma et ce n'est pas si mal, après tout, d'être dans le cercle de la connaissance.
- Si vous deviez soutenir quelqu'un dans une guerre ouverte, serait-ce Le Diable, L'Ange Gabrielle ou La Faucheuse ? Et pourquoi ?
Je soutiendrais Vivante La Faucheuse. Je lui suis redevable après tout, pour beaucoup de raisons.
- Pensez-vous que la disparition des Dinosaures est une tragédie ?
Ah. Leur disparition ? Nous avons sauvé assez de ce qu'ils étaient, en tout cas, pour pouvoir les étudier actuellement dans nos laboratoires.
- Quel serait votre repas de condamné à mort ?
Un grand cru, une vrai baguette et de bons fromages.
- Si vous deviez vous décrire, quel serait votre principale qualité ? Et votre principale défaut ?
Mon travail compte beaucoup, nos recherches aussi. Mais pour faire ce que je fais, il faut accepter de renoncer à une certaine partie de son humanité. C'est ce que j'ai fais.
- Vous auriez plutôt tendance lors d'une fête à vous placer au centre de la pièce ou plutôt contre les murs ?
Je ne me rend à des "fêtes" qu'à moins d'être contrainte et forcée.
- Quel est votre style de films – séries - jeux-vidéos – lectures – musiques favoris ?
Je n'ai malheureusement pas beaucoup de temps, mais il y a bien des années j'étais une véritable cinéphile. Dans tout les cas je peux tout regarder et tout apprécier à condition que cela ai un intérêt. Je ne regarde pas de séries, n'ai jamais joué au moindre jeux-vidéos de ma vie. Je lis surtout des auteurs français, et écoute beaucoup d'opéra et de musiques classiques.
- Quels sont vos odeurs favorites ?
Celle des fleurs fraîches et de la peau de Tancrède.
- Vous jouez/aimeriez jouer de quels instruments ?
Je joue du piano.
- Vous voulez des enfants, vous marier, avoir des clôtures blanches et adopter un boxer un peu con ?
Je n'ai aucun besoin d'être mariée, mais je suis déjà la mère de Tancrède et de FSCO, c'est déjà amplement suffisant.
- Votre chanson culte et votre chanson honteuse ?
L'intégralité des œuvres de Bach. Pour le honteux... Je me dois bien admettre que j'écoute parfois de la variété française...
- Vous trouvez-vous beau ?
Si vous êtes nécrophile je suppose que je pourrais avoir un certain charme à vos yeux.
- Si vous étiez un animal, lequel seriez-vous ?
Oh je ressemble plutôt bien à FSCO, non ?
- Vous préféreriez être Hercule Poirot ou Sherlock Holmes ?
Sherlock Holmes était un drogué, Hercule Poirot un génie.
- DC ou Marvel ?
Je suppose DC, ils ont le bon goût, chez DC, de moins faire parler d'eux.
- Vous êtes plutôt travailleurs ou paresseux ?
Ma vie est dédiée à mon travail et à ma famille.
- Si vous étiez un péché capital, lequel seriez-vous ?
En vu de mon passé je dois bien être honnête et vous répondre la luxure. Ce n'est pas comme si j'y avais apporté la moindre importance de toute façon.
- Vous êtes un oiseau nocturne ou un lève tôt ?
Un oiseau nocturne, et une lève tôt. Tant qu'il y a du travail il n'y a pas de repos.
- Quel serait votre journée parfaite ?
Une journée entière consacrée à Tancrède, FSCO et à lui s'il était encore là...
- Quel est votre fête populaire/religieuse favorite ?
La Toussaint. Il est important d'honorer ses morts.
- Quels sont vos passes-temps ?
J'aime bien faire exploser des CDNOs avec Vivante. Oui bon, je l'admet, c'est assez divertissant.
- Aimez-vous votre métier ?
Il est celui que Vivante m'a choisie quand elle m'a fais signer son contrat. Je vie avec depuis si longtemps, que je ne me pose même plus la question.
- Auriez-vous une recommandation à faire à l'Entreprise ?
Convaincre les Actionnaires de nous offrir plus de subventions.



Et ton histoire, tu la raconterais comment ?


Il n’y avait que peu d’intérêt à rencontrer Diane si tard. Quels seraient les racontars ? Les ragots quand elle passerait ma porte ? Car je savais que sous chacune des tentures de satins, sous chacune des portes dérobés, des rideaux dentelés se cachait une tête d’un de mes voisins, ces indigents, tellement bons sous ton rapport, tellement parfaits, tellement différents de Diane. Pourtant, elle viendrait encore, sans aucune distinction, elle viendrait comme chaque soir. Frapper à ma porte de ses mains graciles, blanches, de son corps emplit de chair, de besoin, et je savais que je mordrais sa peau, je savais que je lui donnerais ce qu’elle voudrait et qu’ensuite sans plus de cérémonie, elle partirait. Diane n’était pas femme de foi, Diane n’était pas bonne à présenter ou à aimer. Non Diane était de celle dont l’on se nourrissait, que l’on épuisait jusqu’à la dernière goûte de chaleur, la dernière sève de vigueur. Ou était-ce l’inverse finalement ?

Diane était faite du même bois que moi, elle refusait de se faire emprisonner, d’appartenir, elle refusait même d’aimer. Alors Diane était libre et Diane trompait son ennui, son besoin grandissant et sa solitude dans les bras éparses qu’elle rencontrait au fil de ses voyages. Pourtant, Diane était détestée quand j’étais adulé, pour une dérision fondamentale, une différence exécrable. Diane était une femme, j’étais un homme, et pour notre sordide communauté, c’était bien suffisant pour la juger. Alors je l’avais aimé quand dans ses yeux je ne lisais rien, pas même un réel désir. Je l’avais aimé a en mourir lorsqu’elle semblait éteinte, perdue, brisée. Lorsqu’elle semblait appartenir à un autre monde, connaître bien plus que ce que mon cerveau pouvait imaginer. Diane venait d’un autre temps, elle flirtait avec l’invisible, avec l’inconnu et de tout cela, elle n’en laissait que la désinvolture. Alors oui, j’avais aimé Diane, encore et encore, jusqu’à m’épuiser à mon tour. 

Mais parfois, je la questionnais. Je cherchais. Je voulais comprendre, l’apprivoiser et je devenais comme tous les autres, comme n’importe quel homme blessé dans son orgueil. Parfois, je hurlais, parfois, je la suppliais, mais rien, rien de plus que son léger balancement de visage, rien de plus que sa main qui secouait l’air comme pour chasser ces horribles pensés. De Diane, je ne savais rien de plus que les rumeurs, de Diane, je n’en gardais que son absence, que l’horrible manque. 

…………………..

- Le temps est venu, Diane.

Elle rigole, doucement, silencieusement avant de déposer sa tasse d’un mouvement brusque, vif. Et longuement elle remonte son regard vers moi. Elle sait qu’elle ne m’impressionnera pas, pourtant, elle n’hésite pas à plonger ses encres dans mes cendres, à m’observer avec un regard frontale, entendu. 

- Je ne doutais pas que vous me retrouviez, vous savez. J’avais l’espoir que dans votre battement de cil vous n’auriez aucune envie de venir me chercher au fin fond de l’Arizona. Vous ne semblez pas être femme à apprécier la chaleur.

Elle me tire une chaise et dans un soupçon de grâce me serre adroitement la main. Presque chaleureuse, presque vivante. Comme moi. Alors je souris de toutes mes dents, amusée. 

- Je ne doute pas de l’importance de vos recherches. Enfin si. Mais je pourrais envoyer n’importe qui dans ce désert récolter du sable et des pierres. Ne vous moquez pas de moi Diane, le temps a assez duré, cela fait vingt-et-un ans que le contrat est signé. Ne gâchez pas tout avec vos sottises.

Elle soupire, et je sais déjà ce qu’elle va dire. Cette discussion nous l’avons eu des dizaines des fois, je pourrais l’étirer sur des partitions et la jouer avec une facilité déconcertante tant nous l’avons répété. Cependant, je ne suis pas femme de patience et de gré ou de force Diane reviendrait travailler à son poste. 

- J’opère des recherches pour RIP Pharma. C’est ce qui est stipulé dans ce contrat. Rien ne m’oblige à revenir créer des monstres. Surtout pas après ce qui s’est passé. 

Elle retourne à sa fenêtre, et de là, je ne peux qu’entrapercevoir sa faiblesse, son humanité galopante. Je ne serais jamais elle, ou amène à comprendre la perte affolante qu’elle étreint dans son cœur depuis tellement d’années. 

- Ils ont étaient puni, dévorer vifs pour l’éternité. Je ne peux vous offrir mieux.

Son souffle s’éteint, elle n’a pas besoin d’en dire plus. Au fil de son existence nous en avons brûlée, explosée, réduis en bouilli, chacune des antres qu’elle s’est construire, chacun des remparts, chacun des abris. Alors je lui prends la main, attrape le cadre et la peluche de dromadaire avant de l’amener à l’extérieur. Et d’un bref battement de cœur, la roulotte explose dans un fracas retentissant. Je la sers contre moi alors qu’elle hurle à se briser, alors quelle laisse exploser tout ce qu’elle retiens depuis une décennie. Et lorsqu’elle tombe au sol, contre mon cœur, contre mon âme, je la laisse pleurer, oublier et avancer. Car après tout, n’est-ce pas le rôle de La Mort d’accompagner jusqu’au bout l’emprunte des défunts ? 

…………………..

J’avais une famille. Un frère. Une sœur. Un père et une mère. J’avais une existence semblable à des centaines, des milliers, des milliards. Je n’étais rien de plus qu’une poussière dans l’Univers, rien de plus qu’une humaine comme il y en avait tant eu et comme il y en aurait tant après moi. J’étais seulement là, j’étais seulement existante, dans une famille sans problème. Et pourtant ça ne m’empêcha pas de dériver, de perdre le cap et l’attention que l’on me portait. Ça ne m’empêcha pas de briser mon existence pour un soupçon de verdure, pour un soupçon de folie. Je ne saurais pas vous expliquer, je ne saurais jamais le faire. Mais tout est arrivé, simplement, ainsi. 

Mais vous, savez-vous ce qu’il admet de chacun ? Savez vous ce que je ressens dans chacune des parcelles de la mort ? J’avais quinze ans quand elle est venue la première fois. Quinze printemps et j’étais de celle qu’on utilise pour son plaisir, pour accroître son existence. Je n’eus pas tant de malchance, pas tant de chance, j’eus ce qu’on avait admis de me donner. Et ce fut suffisant après tout. Suffisant pour prendre mes choix, pour exister, pour avancer, pour satisfaire et rencontrer. J’étais seule, pourtant, dans ma famille, dans ma société, dans mes expériences. J’étais seule, malgré les bras que je rencontrais contre un système intriguant d’argent. Je monnayais mes services jusqu’à en perdre haleine, jusqu’à me pousser à ma propre perte. Était-ce voulu ? Étais-ce dérangeant ? Peut-être, peut-être pas, mais ces pots de médicaments qu’on me prescrivait contre mon anxiété finirent dans mon gosier. Alors elle est venue. Simplement. Et j’ai signé. Encore plus simplement. J’étais trop jeune, trop perdue, mais je l’ai laissé m’emmener là-bas pour apprendre. Tirer un trait sur tout ce que j’avais était. 

À vingt-trois ans, j’étais enfin prise en charge par eux pour un véritable poste, pour leur bêtise, et je compris que tout ce qui m’entourais n’était que stupidité et mensonges. Fort bien, je le gardai dans un coin de ma mémoire. Et j’avais du talent pour ça, pour créer des monstres que nous devions vendre. J’étais une génie dans mon domaine, une perle brute, et je sus accaparer les désirs de ses dames et de ses monsieurs. Oh si simplement, encore, j’étais la coqueluche de leur bonheur, de leur existence. Il n’y a rien de plus à dire, un an plus tard seulement, un an fatidique avant qu’elle vienne une seconde fois. 

Il avait trois ans. Il était mon tout. Il était mon cœur. Il était mon âme. Il était mon existence toute entière. 

Elle l’a emporté. 

À cause de qui ? À cause de quoi ? La stupidité. La stupidité personnifiée dans une équipe grotesque. Ils le prirent pour tester, après tout, qu’est-ce qui aurait pu mal se passer ? Tout ? Il était évident, et pourtant, ils avaient besoin d’un enfant. Ce qui se passe dans les locaux de RIP Pharma, ce qui contraint nos cages, nos besoins, ce que nous offrons à ces milices, à ces gouvernements, rien n’est pire que ce que nous créons. Pour faire de parfaites créatures, il doit y avoir de la souffrance, mais plus encore nous devons oublier toute logique humaine, toute morale, ils réussirent, moi aussi finalement. Et même si je n’étais pas là, je pris le risque en travaillant avec eux. Une vie pour une autre, n’est-ce pas ? Un prêté pour un rendu. 

Il disparut aussi vite qu’il avait existé. Et elle, elle a puni les responsables alors que je fuyais. Je sais parfaitement qu’elle m’a laissé faire. D’une ville à une autre, d’un homme, d’une femme à un autre, j’ai parcouru les États-Unis. Et régulièrement elle venait, régulièrement nous faisions tout exploser. Régulièrement, pendant dix longues années, jusqu’à maintenant, jusqu’à ce qu’il soit temps de rentrer.  Alors je l’ai suivie. Alors j’ai tout repris et j’ai enfin reconstruit. 

…………………..

- Connaissez-vous la Docteure Rosemont ? Non ? Alors sachez qu’il s’agit de la plus incroyable de toute nos chercheur•e•s en création de CDNO. Ses travaux nous ont permis d’accentuer la grande résistance de ce que vous êtes venu chercher aujourd’hui. Les CRY-785 sont inusables, plus forts et plus dociles et tout cela grâce à elle. Vous pouvez me suivre pour une démonstration.

Ils lui jettent un bref regard alors qu’ils se dirigent vers la salle de test. Je soupire, voilà une vente de plus accomplis pour l'UDC, espérons que les Actionnaires seront ravi•e•s, je n’en peux plus de leurs hennissements ingrats. Elle, en tous cas, est dans son coin observant avec un sourire contrit les papiers qu’elle tient dans ses mains. Les mensonges, après tout, nous les empilons entre eux depuis tellement d’année que nous ne savons plus à la longue ce qui est vrai ou non. Pourtant, Diane et moi savons parfaitement ce que sont les CRY-785, et nous connaissons parfaitement ce que renferment les sombres secrets de son laboratoire et de son équipe. Les traites des autres pour les améliorer, oh quel beau soupçon, qu’elle bonne cruauté. Elle est revenue à sa place, à son poste depuis deux ans, alors que je m’approche d’elle. Et le sourire entendu que nous nous partageons, le respect, l’amitié, rien de plus qu’un amusement certain. 

- Il y a un risque d’implosion, non ?

Elle rigole doucement et attrape mon bras avant de nous diriger vers son bureau ou s’entrecoupe entre les plaintes des CDNOs quelques cris d’enfant. 

Souhaitez-vous voir Tancrède ?

Alors j’acquiesce tandis qu’elle ouvre la porte. Je ne saurais dire avec précision ce qu’est cet enfant, ce jeune garçon de seulement dix-huit mois, plus ou moins humain. Mais il s’agit de mon cadeau, de mon pardon, il s’agit de son savoir, de ce que nous n’aurions jamais dû faire. Il s’agit de notre secret, de ce que nous emporterons durant l’éternité entre nous.

- Merci.

A-t-elle murmuré alors que je le prends dans mes bras. Un simple mot qu’elle me répète inlassablement à chaque fois que je passe et passerais les portes de son bureau. Et comme à mon habitude, comme seule réponse, j’appose un baisé sur le front de son fils. Avant de rester silencieuse et de l’observer. Avant de nous asseoir et de ne rien dire, rien partagé d’autre que le silence et la chaleur d’un soupçon d’amour. 

Et puis plus tard, bien plus tard, nous verrons enfin les conséquences de nos actions. 



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Ven 21 Fév - 14:06
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