Andrew M. St-Georges- La loi de Murphy - Secrétaire de Direction
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Date d'inscription : 17/08/2019
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Avatar : Tom Marvolo Riddle - @Zula merciiiii
Tu peux RP en ce moment ? : Yupe
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Pascal le Grand Frère - ☠
Arìstós A. Anastópoulos
Coucou mon chou, ici Le Temps, alors comme ça t'aime bien Andrew ? Je suis si content
Quelques petits détail :
- L'avatar n'est absolument pas négociable. - Le prénom bon, tant qu'il garde Murphy en second prénom et que tu lui trouve un nom de famille en rapport avec Belfast je t'en voudrais pas. - Pour ce qui est du niveau de rp bah, disons que je vais être ton principal partenaire de RP alors juste soit relativement actif et envoie moi un MP si tu as des questions !
Andrew Murphy St-Georges
" La Loi de Murphy a décidé d'enterrer mon brushing. "
Nom ; St-Georges Prénom ; Andrew Murphy, mais il n'aime pas trop son second prénom. Il s'agit là de la loi de Murphy personnifiée. Age ; Il fait 42 ans mais son age réel est un mystère. Race ; Entité Métier/Etudes ; Secrétaire de Direction à l'ULTIMATE Death Compagny Orientation sexuelle ; Homosexuel Situation Conjugale/Familiale ; Il ne s'en souvient pas. Situation Financière ; Bah... il peut s'acheter avec son salaire, des glaces, ça le rend heureux. Origine ; Irlandais
Avatar ; Aziraphale - Good omens Carnation ; Blanc comme neige. Taille ; 1m71 Corpulences ; Tout doux tout rond, un véritable petit nuage d'amour. Cheveux ; Blanc, souples et bouclés en auréole autour de son visage. Yeux ; Bleus-Gris Signe(s) Distinctif(s) ; - Il est toujours très bien habillé, il aime faire honneur à ses collègues en soignant sa présentation. - Il est très très maladroit. - Il adore manger des glaces, et des pâtisseries, et boire du thé aussi. - Il arrive souvent malheur aux humains qui passent trop de temps avec lui. Enfin à toute créature autre qu'une entité en générale. Du coup il a une vie plutôt solitaire malgré lui. - Il déteste tout ce qui est mal. Et il a la candeur d'un enfant de 10 ans. - Il adore ranger, trier et ordonner les choses. - Il aime passer ses après-midis de libre dans le bureau du Temps. C'est son meilleur ami. Parfois quand il est de bonne humeur et qu'il veut bien se libérer il sort avec lui pour lui offrir le repas, et l'emmène après manger une crème glacée dans les baux quartiers de Devil's Paint Brush, et ça suffit à en faire le plus heureux des hommes. - Il ne sait pas trop pourquoi mais la Faucheuse le déteste. - Il a très peur de la poussière, des accumulations de petits trous (qui sait ce qui pourrait en sortir !?) et des enfants qui gribouillent sur les livres. - Personne ne sait vraiment pourquoi mais il panique quand l'eau est froide.
Histoire : C'est l'histoire somme toute assez simple d'un homme . Andrew M. Carlisle. Il était né le 13 mars 1870 dans une famille de l’aristocratie irlandaise et n'avais jamais connu guère plus de danger que la température parfois élevée que la porcelaine prenait lorsque l'on y versait le thé. Si son père, Alexander Montgomery Carlisle et sa mère la belle Madeleine Carlisle auraient pu à l'époque s'offusquer de voir leur fils grandir tel un dandy affable, délicat et passionné de la lecture et la poésie, il en fut tout autrement. Trop fiers de leur fils pour voir quelques démons à son penchant exacerbé pour l'anatomie masculine, ils s'étaient contentés d'admettre que le monde évoluait et que la fille de leur charmants voisins qui passaient ses nuits on ne savait trop où avait surement plus plus à se reprocher que d'avoir parfois rougis devant quelques messieurs. Et puis ce n'était pas un si grand drame, leur second fils Gabriel Jr. était un coureur de jupons patenté !
C'est l'histoire somme toute assez Longue du Temps, qui préparait un grand-événement. Oui Zzeit avait eu vent le jour de l’anniversaire de ce cher Andrew M. lors de l'année 1909, qu'un paquebot conséquent serait construit et devait quelques années plus tard s'écraser de plein fouet contre à Iceberg seulement 3 ans plus tard.
Car les choses étaient peut être plus faciles du temps de la WONDERFULL God Compagny, cette fois là Zzeit Zetlosen avait décidé de s'accordé l'ai frais, de sortir, d'apprendre, de voir de quoi les hommes avaient l'air. Ce fut sa seule et unique erreur, celle de vouloir l'espace d'une seconde devenir quelqu'un d'autre que le Temps en personne. Ainsi, il visita le chantier et tomba sans nul doute sur celui qui allait transformer son éternité en une tempête tumultueuse aux conséquences désastreuses.
Pour faire simple : Alexander Montgomery Carlisle avait fait fortune suite à ses études d'architecture en se spécialisant dans l'architecture navale militaire. Suite aux divers conflits dans lequel son génie militaire avait payé, ce dernier avait décidé de raccrocher pour un métier plus reposant, ne le contraignant plus à se déplacer constamment au bon vouloir de la famille royale. C'est ainsi qu'il saisi le filon et se lança dans la création de paquebots, fiertés navales et vitrines culturelles d'un pays tout entier. Naquît alors de sa main le projet du Titanic, qui fit sans aucun doute tourner les têtes de la haute société tant l'homme était bon orateur.
Ainsi Zzeit s'était rendu, plusieurs fois sur le chantier navale du monstre des océans. La première fois c'était simplement pour vérifier que les ouvriers employés par la compagnie effectuaient les quelques erreurs qui fragiliseraient la coque du géant de métal. Ce jour de printemps, du coin de l’œil il avait aperçu ce jeune homme qui tentait tant bien que mal de suivre son vieux père, un tas de plans chiffonnés et mal roulés dans les bras. La scène avait eu le mérite de faire sourire notre entité qui paraissait pourtant si las d'observer le monde. En effet, Andrew maladroit et malchanceux, avait fait tomber l’entièreté des papiers sous le regard sévère de son père, dans une flaque crasseuse et malodorante laissée au hasard du temps sur le chantier.
La seconde fois à vrai dire, l'entité avait fini par oublier le pourquoi du comment il se rendait sur place. Il était simplement fasciné de cette étrange capacité qu'avait Andrew Murphy Carlisle à se retrouver dans le pétrin et à provoquer des catastrophes partout où il passait. Il n'avait pourtant pas l'air d'être quelqu'un de mauvais cet oiseau de malheur.
C'est à sa huitième visite que Zzeit se décida à agir. Andrew ce matin là n'était pas bien réveillé et alors qu'il traînassait et rêvassait à on ne sait quelle pâtisserie française au dessus de son crâne garni de boucles blondes, une aussières en acier de 80 tonnes était entrain d'être acheminée à la place qui lui incombait. Zzeit savait très bien que les cordes utilisées par l'entreprise de construction étaient trop faibles pour supporter à répétition un tel poids. Mais étrangement à la vue de cette scène horrifique des quelques secondes de la fin de vie d'un homme, et il n'était écrit nul part qu'Andrew Murphy Carlisle devait perdre la vie sur un chantier navale, un pincement au cœur s'empara du Temps. En poins de temps qu'il n'en faut pour dire ouf, Zzeit avait parcouru d'un claquement de doigt céleste la distance qui le séparait de cet homme pour lui agripper le bras et d'un tour de passe-passe que seul les entités comme le temps, la vie et la mort maîtrisent, l'avait ramené à sa position de départ.
L'aussière tomba dans un fracas épouvantable, provocant uniquement la mort d'une souris de passage. Et alors Andrew, un peu sonné, un peu perdu, et persuadé qu'il avait subitement changé de place, s'était retrouvé né à né avec Zzeit et lui avait adressé le plus sincère des sourires innocents.
- B...Bonjour je m'appelle Andrew Montgomery Carlisle et vous ?
Il n'en fallu pas plus au Temps pour rougir pour la première fois de sa vie et sentir son estomac arriver dans ses chaussettes. Il balbutia quelque chose comme : Zzeit... Zzeit Zetlosen, mais j'ai affaire je dois partir. Avant de s'évaporer dans les rues sinueuses de Belfast, capitale de l’Irlande du nord.
Seulement voilà. Zzeit le savait. Il le savait très bien pour avoir côtoyé Amour d'assez près. Tomber amoureux d'un être humain signerait sa perte. Et voilà que l'inévitable venait d'arriver. Lui. Le Temps. Cet être sans défaut qui accordait plus d'importance à exécuter sa tâche qu'à aider les vivants venait de s'enticher d'un homme condamné à mourir prématurément.
Prématurément ?
Le 10 avril 1912, à 12 h 15, le Titanic appareilla de Southampton en Angleterre avec à son bord 953 passagers dont l’entièreté de la famille Carlisle, à l'exception faite d'Alexander, qui avait décidé d'offrir à ses deux fils et à sa femme la magie, l'honneur et le renom de participer à la traversée inaugurale du paquebot. Zzeit qui aurait pu se contenter d'observer le drame s'était mis en tête d'embarque lui aussi.
Le 12 avril 1912, à 19 h 45, le Titanic reçoit un message de La Touraine lui signalant un brouillard dense, une couche de glace épaisse, et la présence d'Icebergs. Mais le capitaine chosi de garder cela pour lui par peur d'affoler les passagers.
Le 14 avril 1912, À 23 h 40, par 41° 46′ N et 50° 14′ O18, le Titanic heurte de plein fouet un Iceberg à 22,5 nœuds alors qu'il tentait de l'éviter. Quelqu'un cri alors les femmes et les enfant d'abords et le pauvre Andrew, paniqué, innocent et maladroit, reste bloqué dans sa cabine.
Et c'est à ce moment précis que Zzeit choisi de réaliser l'impossible. Sachant la faucheuse trop occupée avec les multiples hypothermies qui s'annonçaient, il récupéra le pauvre Andrew glacé, au bord du gouffre et pas loin de passer l'arme à gauche. Incapable de se contenter de regarder l'homme qui agitait ses sentiments plus que nul autre rendre son dernier souffle, il désobéissa, pour la première fois de sa vie à l'ordre des choses. Il retourna des montagnes, enragé par l’injustice de cette situation et ramena sans dire mot à personne le pauvre Andrew dans les locaux de la WONDERFULL God compagny. C'est en prolongeant sans aucune autorisation la vie d'un garçon malchanceux, que le Temps créa malgré lui : la loi de Murphy.
Aujourd'hui Andrew ne se souvient pas de sa vie d'homme sur terre. Sans doute a t'il pris un coup sur la tête ? A moins que le manque d'oxygène n'ai abîmé ce qui restait de mémoire à cette tête de linotte ? Il se souvient simplement de s'être réveillé au côté du Temps qui lui expliqua qu'il était simplement ce qui faisait que parfois les hommes passaient des journées de merde. Profitant de cette étrange amnésie, Zzeit le renomma comme sont marché préféré à Belfast : St-Georges. Et Andrew, trop naïf, trop candide et trop gentil goba sans hésiter les paroles tissées du plus gros mensonge aujourd'hui passé sous silence de l'ULTIMATE Death Compagny, que Zzeit lui servait.
Car en 1912 l'administration était aussi foireuse qu'aujourd'hui, aidé de sa sœur la Vie, Zzeit, le Temps falsifia les quelques documents qui suffisaient à construire sur terre une identité, et plaça sans la moindre vergogne pour les conséquences qu'auraient cet acte, le nouvellement nommé Andrew M. St-Georges au poste de Secrétaire de Direction.
Andrew voit Zzeit, le Temps, comme son ami le plus fidèle. Après tout il a toujours été là pour lui, et il chéri chaque moment passé en sa compagnie. D'ailleurs il ne comprend vraiment pas pourquoi cet homme acariâtre prend à ce point soin de lui alors que totu le monde passe son chemin lorsqu'il est dans les parages. Ce qu'il ne sait pas c'est que cela fait précisément 110 ans que le Temps est tout simplement follement amoureux de lui.
Il ne sait pas ce qu'il doit à la vie. Mais la Vie elle, elle n'a pas oublié. D'ailleurs il ne sait même pas que la Vie s'intéresse un tant soit peu à son existence. Non? A vrai dire si Andrew savait ne serait-ce qu'un sixième du mensonge qui avait décidé de son existence sur terre en tant qu'Entité, il en voudrait probablement fortement au temps et à la vie et serait pris d'une crise de panique.
Il ne sait pas vraiment pourquoi, ni comment, mais chaque fois qu'il la rencontre la Faucheuse lui jette un regard qui en ferait fuir plus d'un. Il en a déjà parlé au Temps mais étrangement là aussi, ce dernier est toujours resté très vague la concernant. Il sait juste qu'ils se détestent pour des querelles de fratries, et met la haine non cachée de cette dernière à son égard, sur le dos de celle qui règne entre Elle et le Temps.