Marabella-Rose
Bienvenue sur Dear Reaper
Rempli bien ta fiche pour être validé(e)
Nom : Canterbury
Prénom : Marabella-Rose
Surnom : Mara - Rose - Marajolie - Marabelle
Age : 25 ans
Genre: Féminin
Nationalité : Othersidienne
Race: Vampire
Orientation Sexuelle: Pansexuelle
Situation Conjugale: En Instance de divorce avec Keith Canterbury
Situation Familiale : Cinq frères et soeurs, fille adoptive du Yéti
Situation Financière : Très aisée
Carnation : Rosée
Taille : 169cm
Corpulence : Athlétique
Cheveux : Longs, ondulés entre le rose et le roux - Sa couleur naturelle
Yeux : Verts fluorescents, verts profonds avec Take The Pill.
Signe distinctifs : Elle a la constellation d'Hercule tatouée dans le creux de son cou.
Profession : Commandante - Chasseuse de CDNO et de fantômes
Groupe : Vélociraptor
Un cri à pousser ? Des anecdotes ? :- Marabella-Rose adore les bars, le whisky trop fort et le contacts. Vous la trouverez facilement à Crimson Beer. Elle est d’ailleurs très amie, étrangement, avec bons nombre de lycanthropes.
Marabella-Rose est du genre insaisissable, elle ne donne que très eu d'information sur sa personne, ne s'attache jamais, enfin c'est relativement vrai, même si elle attire énormément.
Marabella-Rose est dépendante des substituts illégaux de Take The Pills, plus puissant, elle a aussi un penchant pour l'alcool.
Feat : Starfire, Teen Titans
T'as quoi dans la tête mon chou ?
Insaisissable • Corruptible • Attractive • Perspicace • Incertaine • Brisée • Travailleuse • Ambitieuse • Détachée • Extrêmement Loyale à l'Entreprise et à l'Ordre • Capable de torture • Faible Estime de soi même • Dévouée • Courageuse • Réfléchie dans son travail, Impulsive dans sa vie • Bonne dirigeante • Malléable
- Bonjour Marabella-Rose. Je suis le Commandant Bishop, Service Renseignement, et je serais votre référent aujourd’hui pour mener à bien votre évaluation. Veuillez prendre place.
Je connaissais cet homme de réputation et je savais parfaitement que je n’étais pas devant lui par simple hasard. J’avais était préparé à cette éventualité depuis tellement d’année que je savais finalement exactement comment me comporter, et j’étais prête à tout pour réussir. Alors dans mon uniforme de chasseuse, les cheveux habillement coiffés dans une natte serré, le maquillage discret, j’avais tout du fantasme vivant que j’étais censé exploiter depuis que j’avais été engagée.
- Je vais vous poser quelques questions et nous reviendrons ensemble sur votre dernière mission. Tout d’abord c’est le Commandant Dixon qui vous envoie ici, il paraît que vous avez fait forte impression ces derniers temps. J’ai aussi les rapports fait par le Grand Intendant Zeitlosen, ils sont bons. Tout le monde semble vous trouvez efficace et compétente mon petit. Mais ce n’est pas étonnant vu votre passif.
Je l’observa, silencieuse, dans la position la plus droite et la plus respectueuse que j’avais en stock. Un sourire, presque effacé, le regard légèrement baissé, les hommes gradés de l’Ordre n’aimaient que peu les femmes qui ne leur vouaient pas un culte de jeune effarouchée. Je n’avais rien à répondre à ça, je ne savais même pas de quel passif il souhaitait parler. Nous aurions pu aller de la présence de Vivante La Faucheuse dans les amies de la famille, a mon mariage avec le Procureur Keith J. Canterbury, en passant par l’identité de mes parents biologiques, ou encore tout simplement à cette idée répandue que j’avais globalement coucher avec tout le monde pour arriver dans ce bureau, devant lui.
- Bien. Alors. Je vois que vous avez était embauché il y a cinq ans de ça, après être revenu d’un long voyage en Europe. Vous n’étiez pas encore en instance de divorce dites moi ? Qu’est-ce que vous pensiez de notre belle Entreprise avant de rentrer dans l’Ordre ?
- Non pas encore Commandant. Pour ce qui est de la ULTIMATE Death Company je l’ai toujours plus ou moins connue. Madame La Faucheuse est une grande amie de mon père. Nous allions souvent lui rendre visite quand j’étais enfant. J’ai baigné dans cette univers dès le départ.
Cela ne servait à rien de mentir, même si la situation n’était pas idéal, il était déjà de toute façon parfaitement au courant. Le dossier, peu maigre, derrière lui, étant le miens je le savais bien, et l’unique feuille qu’il tenait dans ses mains, comme si elle référençait de vague informations, n’était rien d’autre qu’une feuille vierge de tout texte.
- Et maintenant ? Vous ne regrettez pas votre choix ? Vous auriez pu rester femme au foyer non ?
Un sourire bref, je joignis mes mains entre elles.
- J’aime notre Entreprise, je lui suis loyale. Et je n’étais pas faite pour ça, mes résultats parlent d’eux même.
Si je devais en donner des défauts, je pourrais admettre que Vivante avait bien trop tendances à embaucher des incompétents qui créaient bien trop de problèmes pour ce que nous avions déjà à gérer. Pour ce qui était du secteur de l’Ordre, soit nous avions des idiots, soit nous retrouvions avec des sadiques dans son style. Pour ce qui était du cas de Bishop j’aurais plutôt tendance à dire que son karma devait être très mauvais.
- Il est vrai que vous n’avez jamais donné de mauvais résultat, même à vos débuts. Vous étiez entraîné de longue date je suppose. Vocation de jeunesse ?
- Je sais que vous connaissez cette histoire, Madame La Faucheuse aime bien trop la raconter. Ma petite sœur Luciole était en proie à un Poltergeist quand nous étions enfant. Je me suis plongée dans les livres de mon père pour régler le problème définitivement. Après je savais parfaitement ce que je voulais faire de ma vie.
Il rigola brièvement et remit ses lunettes sur son nez, aucune correction elles étaient simplement là pour lui donner un air plus innocent. Il observait mes seins, bien évidemment, avant de faire semblant de taper sur son clavier.
- Effectivement je connaissais déjà cette histoire. Vous me parliez de loyauté, vous soutiendrez encore Madame La Faucheuse si un conflit devait avoir lieu entre M. Darkside, Mme Séraphine et elle ?
Je l’observa, plongeant pour la première fois mes lucioles dans ses deux noisettes. Cette question était vraiment tout sauf anodine. Visiblement, ils avaient des raisons de douter de mon ma loyauté Et ce n’était pas totalement stupides. Il était vrai que je donnais des renseignement à mon frère Théodore en échange de substituts de Take The Pills. Est-ce que c’était mal ? Sans aucun doute, mais cela ne remettait pas en doute l’affection que j’avais pour celle que je considérais comme ma tante et mon respect de la hiérarchie.
- Je soutiendrais Mme La Faucheuse, elle est de ma famille. Et même en dehors de tout cela, de mon affection, il ne serait pas malin pour quelqu’un comme moi d’aller en l’encontre de l’Ordre.
- Il est vrai que vous avez passé sept ans chez les Carnival… Vous savez, si Mme La Faucheuse n’avait pas appuyé votre candidature ainsi que le Procureur Canterbury vous n’auriez pas était embauché il y a cinq ans. Je travaillais déjà dans l’Entreprise quand nous vous avons récupéré, mademoiselle, nous devions prendre en compte ce que vous avez vécu. Et vous savez à quel point nous ne portons pas votre famille dans notre cœur.
Je détourna le regard, dans une fausse gène, serrant mes mains et relevant subtilement ma poitrine tout en recroisant mes chevilles entre elles. Il semblait se radoucir.
- Bien. Nous allons passer aux questions, hum, exigé par Madame La Faucheuse. Pensez-vous que la disparition des Dinosaures est une tragédie ?
Je me retiens de pouffer en le voyant lever les yeux au ciel. Il était vrai que Vivante avait une très forte tendance à obliger toutes la hiérarchisation de l’Entreprise à poser des questions idiotes dans ce style.
- J’ai entendu tellement d’histoires, enfant, sur ces fameux dinosaures que je ne pourrais pas vous dire que je ne ressens pas un certain pincement au cœur en y pensant. Mais ils fallait qu’ils laissent leur place sur Terre, sinon nous ne serions pas là vous et moi, dans ce bureau.
Un sourire délicat, il semblait apprécier, bingo.
- Si vous deviez être un animal, lequel seriez-vous ?
- Une chauve-souris, je ne suis pas très originale que voulez-vous.
Il rigola avant de passer une main dans sa nuque. Je marquait des points.
- J’imagine donc que vous vous considéreriez plutôt comme une couche tard ?
- Vous avez l'historique de mes passages, vous savez parfaitement que je suis toujours sur le pont. Je me couche tard, je me lève tôt, je ne dors que très peu, même pendant mes soirs de congés.
- DC ou Marvel ? Hercule Poirot ou Sherlock Holmes ?
Je l’observa, presque indécise, avant de lui répondre d’une voix un peu plus sensuelle.
- Oh, DC, j’aime bien les Teen Titans. Et Hercule Poirot… J’ai un faible pour les hommes mûrs en costumes…
Il rougissait, parfait, vraiment les hommes étaient tous les mêmes. Il se racla la gorge.
- Pour tout vous dire je ne connais pas ces gens, je n’ai pas vraiment le temps de m’y intéresser mais je prend bonne note. Alors… Votre repas de condamné à mort ?
- Du sang frais de bonne qualité, que j’aurais récolté par ici...
J’amenai, avec une fausse innocence, ma main vers mon bas ventre et le creux de mes cuisses. Il la suivit, avec beaucoup d’intérêt avant de détourner son visage espérant que je n’avais pas vu son trouble.
- Je… Vous aimeriez vous remarier et fonder une famille ?
- Oh. Ne vous inquiétez pas je compte rester au service de l’Ordre jusqu’à la fin. Et pour ce qui est du mariage, il serait déjà tant de finaliser le divorce. En attendant je compte bien rester très libre.
- Très, très bien. Votre fête populaire ou religieuse préférée ?
- Noël. Mon père, Willie Yéti, n'est pas le Père Noël pour rien. Je ne crois pas avoir un engouement particulier en réalité pour cette fête, mais je crois que j'aime assez faire quelque chose de bien pour lui et le laissez nous réunir chaque année bien qu'il s'agit de sa journée la plus chargée.
- Vous aimeriez jouer d'un instrument particulier ? Quels sont vos passe temps?
- J'ai fais huit ans de piano et de harpe, de mon adoption à mon départ vers l'Europe. C'est largement suffisant. Pour mes passes temps, je lis beaucoup. Enfin... Quand je trouve le temps, la grande question dans notre branche, n'est-ce pas ? Sinon, je dois l'admettre je sors beaucoup, j'aime les soirée en bonne compagnie.
- Nous avons presque terminé avec sa série de questions. Quelles sont vos odeurs favorites ? Ainsi que vos styles de musiques, films, séries, jeux-vidéos, livres préférés ?
- Hum... J'adore l'odeur de l'alcool, de la cigarette, du sang, des jacinthes, de l'ambre et puis... De quelqu'un en particulier. Pour ce qui est du reste, le lis beaucoup et de tout. J'ai était habitué à écouter de la variété française et de la musique classique avec Mme La Faucheuse et du rock avec mon père. Quand je joue il s'agirait plutôt de FPS, de Survival Horror ou de jeu de stratégie, le travail déteint partout, non ? Je regarde surtout des thrillers, encore une fois, et pour les séries je dirais que j'ai un faible pour Mad Men. Les hommes mûrs en costumes, comme je vous le disais si bien avant.
- Je le note. Cela me permet au moins d'en savoir plus sur vous. Votre chanson culte ainsi que votre chanson honteuse ?
Il me souris et je le lui rendis tout en caressant distraitement la base de mon décolleté, ici même ou la fermeture éclair de mon uniforme était ouverte.
- Eh bien.... "Amour, Amour" de Michel Legrand. Pour les deux à vrai dire.
- Vous êtes visiblement adorable ma mignonne. Quel péché capital vous représenterez le mieux ? Votre principal défaut et votre principal qualité ?
Je planta de nouveau mon regard dans le siens, un sourire en coin affiché sur le visage.
- La luxure. Et j'aime l'argent, nous pouvons dire que cela rentre dans les deux.
Il déglutit difficilement, parfait.
- Hum. Bien. Soit. Nous allons pouvoir parler plus sérieusement maintenant que tout est coché dans la liste de Mme La Faucheuse. Je sais déjà que vous êtes parfaitement capable de vous comporter en haute société. Vous avez déjà à de maintes reprises fait ce qu'on attendait de vous durant les galas de l'Ordre ou de l'Entreprise. Alors je n'ai que peu de crainte là dessus. Vous savez, très bien, pourquoi je vous ai convoqué. Parlez moi de votre dernière mission.
Je détourna le regard et observa, pendant de longues minutes la fenêtre. Cette mission en question, dans l'ancienne usine de jouet, s'était très bien passé d'un point de vu professionnel mais était un désastre personnelle.
- Je travaillais conjointement avec le service des stups. Ça arrive régulièrement. J'étais sous le commandement d'Hector Dorian et d'Edward Dixon. Ils m'avait mise en équipe avec Daria Luce, Maximilien et Sophie Jenkins, Cherry Village, et Kenneth Korzienvosky. Nous étions en planque depuis trois mois et six jours, tout allait bien... Enfin sur le papier. Nous avions les moyens de démanteler le réseau, les arrestations principales avaient était faites grâce aux indics, il ne nous restait plus qu'à attraper ceux qui se trouvaient à l'intérieur de l'Usine. Quand les CDNOs ont attaqué, nous n'étions pas prêt, nous n'étions que tout les cinq. Tout a très vite dérapé et Max a perdu ses jambes... Puis Daria s'est avéré être une taupe. Elle menaçait Sophie, j'ai dû l'abattre. Une balle dans la tête, j'ai fais au mieux. Mais...
Il me stoppa d'un bref mouvement de main avant d'enlever ses lunettes. Puis, pour la première fois honnêtement depuis le début de cet entretien il s'adressa à moi, un sourire doux peint sur son visage.
- Vous avez fait au mieux. Vous avez sauvez vos coéquipiers, M. Jenkins a perdu ses jambes, mais pas la vie. Ils ont tous rapportés votre comportement exemplaire, nous savons que vous êtes la seule a avoir réussit à maîtriser les CDNOs présent ainsi que Daria Luce. Vous n'êtes pas responsable de sa traîtrise Marabella-Rose. Vous avez bien fait de l'abattre, vous n'aviez pas le choix. Ecoutez... Je vais validez cet entretien, et je peux vous le dire dès a présent. Vous allez être promue Commandante de la brigade des Chasseurs d'ici un mois, Le Commandant Dixon va être muté en Otherside. Félicitation mon petit, vous serez la plus jeune de l'histoire depuis la création de l'Ordre.
Je l'observa, indécise, et me releva doucement. J'avais réussis, j'avais obtenue un des plus haut grades de l'Ordre sur Terre, les autres se situait en Otherside. Puis je pris sa main avant de le remercier le plus sincèrement et chaleureusement dont j'étais capable. La mort de Daria n'avait pas était veine pour ma vie, maintenant il ne me restait plus qu'à compartimenter ma culpabilité et de faire comme si tout cela n'avait jamais existé. Mais après tout, n'étais-je pas la meilleure à ce jeu là ?
Et ton histoire, tu la raconterais comment ?
Les vampires sont des êtres capricieux, imbus d'eux même, tout le temps. Ils sont pour la plupart bien trop fier pour faire parties du communs des mortels. Les puissantes famille françaises par exemple on codifié la loi de l'Otherside. Ils ont écrit des chef d’œuvres, participé à la révolution. Les allemands ont fait de fait de la musique, les russes des balais, et les Othersidiens un peu tout ce qui détonne de la civilisation. Ma famille à évolué un peu partout, ils ont bien magouillé pour obtenir leur fortune. Traite d'organes, recherche d'or, pétrole, massacre d'elfe, ils ont tout fait. Je suis certaine qu'en remontant mon arbre généalogique je pourrais retrouver au moins un Carnival dans chaque endroit au monde ou règne les vices des vivants. Mes parent n'ont pas échappé à la règle. Les empaleurs des Cornouailles. Oui c'était eux, on ne sait même pas à vrai dire combien de victime ils ont bien pu faire. Quand ils ont finit par se faire attraper et emprisonner à vie je n'avais que sept ans. Je suis née Vampire, La Vie avait un curieux humour quand elle décida d'autoriser le couple ignoble que formait mes parents à avoir un enfant. Le fait est que quand il se prirent perpétuité il fallut bien me placer. C'est ainsi que je rencontra le Yéti.
Comme vous pouvez vous en douter mes parents n'était pas géniaux, et je n'étais pas bien en point lors de mon adoption. L'Ordre m'aurait retrouvé recroquevillé dans une toute petit cage au milieu des restes de cadavres, en dénutrition complète. Je n'avais sûrement jamais vu la moindre lueur du soleil ou même de la lune, sûrement jamais senti l'herbe sous mes pieds ou pu avoir la joie de planter mes crocs dans de la chair tendre. Non rien de tout ça, et pourtant bien que je n'en ai gardé aucun souvenir, je sais très bien que mes terreurs nocturnes ne découle pas du hasard le plus total.
Nous fumes tous adopté Siri, Cierra, Luciole et moi furent les quatre filles. Pour les garçon nous dénombrons Théodore et Garance seulement. Nous étions tous de races différentes et chacun avait un passé tortueux. Mais le Yéti fut un père excellent pour chacun de nous. Je crois qu'à vrai dire nous n'aurions jamais pu mieux tomber. Il nous offrit le luxe, le calme et l'amour. Nous ne manquions jamais de rien, et à vrai dire nous étions pourri gâté. C'est à Devil's Paintbrush, dans le manoir gigantesque du Yéti que nous avons grandit. Nous avons souvent eu la visite de La Faucheuse à mainte reprise et nous l'avons tous considérer je pense comme notre tante.
Mais j'avais soif de liberté, j'avais soif de vie, et c'est bien pour cela que j'ai décidé de partir du haut de mes quinze ans. Le monde je l'ai découvert, tout les recoins les plus sombres, ignobles. J'en ai fait des bars, des bordels, et pour chaque frasques j'ai offert des insomnies à ma famille. Mais étais-je assez peu égoïste pour en avoir quelque chose à faire ? Je ne pourrais vous le promettre malheureusement.
Ce fut dans l'odeur du whisky et du vomis que j'ai rencontré Keith Canterbury. Un chanteur de rock, visiblement très connu, qui gagnait très bien sa vie, une aubaine pour moi, et qui eu envie d'épouser une gamine de seulement dix-huit ans. Je lui dis oui, sans aucun scrupule et tenta de m'attacher à lui. Dirais-je que je l'ai aimé ? Peut être, mais ça ne suffit pas à combler ses vices, son sadisme et la torture qu'il opéra sur moi. De notre relation j'en tira de nombreuses cicatrices dont ses initiale apposé au fer blanc sur le sein gauche, comme on marquerait du bétail. Alors je chercha un travail. Ce fut la première partie du plan, et quand il eu des doutes je les éteignit avec mon corps. Après tout, la chaire était bien faible.
Je retrouva La Faucheuse et me fit embaucher dans le secteur de l'Ordre. Je lança une procédure de divorce et puis une mission en entraînant une autre et je fini par être reconnue. A seulement 25 ans je deviens Commandante, je m'étais donné pour ça et je crois que c'est à partir de moment là que je ressentie de la fierté. Toujours en instance, toujours en attente j'ai fini par déménager dans les résidences de l'Entreprise. Mon grade m'offrant un appartement aisée, Keith une pension généreuse, ma famille une stabilité durable, je devrait sûrement être heureuse, non ?
BAS LES MASQUES !
Pseudo : Zula
Age : 24 ans
Genre : Féminin
Comment t'as découvert le forum ? : Huhu.
Et pour la route ? :- Longues vies aux poires !
Crédits Avatars : @Zula