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Hey Darling, don't run too fast || Feat Gabybaby
Amadeo Ruzickova
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Amadeo Ruzickova

Hey Darling, don't run  So Fast

Roses are red, violets are blue, how would you like it if I came home with you?

Il faisait beau aujourd'hui, c'est d'ailleurs réveillé par les rayons du soleil sur sa tronche que le violet ouvre ses yeux entièrement rouges. Le Merrow baille grandement, complètement nu dans son grand lit King Size aux draps de couleur pourpre. Ses cheveux en bordel et les draps complètements emmêlés sur son corps. Il se redresse en position assise, il dormait encore à moitié. C'était le week-end et il s'était couché tard. Ou tôt le matin. Tout dépend du point de vue. C'est donc pour cela qu'il avait ouvert les yeux verts quatorze heures.

Il fini par lever son corps, toujours nu comme un ver et se traînant dans sa salle de bain. Il allume l'eau de sa douche sur le plus chaud afin que la buée emplisse sa petite salle de bain, ça la réchaufferait. Après tout, il avait froid chez lui et, au lieu de s'habiller comme une personne censée, il avait décidé de monter le chauffage à fond. Et pour que ce soit moins cher, il faisait avec tout les systèmes D qu'il pouvait trouver. Dont la vapeur pour réchauffer une pièce. Avant d'aller dans la douche, il allume une radio qui était à côté de l'évier de la salle d'eau, il tombe sur une fréquence de Jazz, parfait pour se réveiller. Il entre donc dans la douche -après avoir baissé la température de l'eau- afin de se laver.

Une fois tout propre, Amadeo se sèche le corps et les cheveux, met ses bijoux de cornes et sort, encore une fois, complètement nu. Il voulait aller faire du sport et ce n'est pas nu qu'il allait aller au parc. Il attrape donc des vêtements, un jogging noir plutôt près du corps avec un gros pull noir aussi avec écrit "First, I need coffee" en blanc avec une tasse de café dessus. Il faisait froid dehors, trop froid pour l'écailleux qu'il était. Alors il ajoute une écharpe pourpre. Puis il met des chaussettes et enfin ses baskets de course. Il s'apprête à sortir quand il s'arrête devant sa porte, juste en face du miroir... Il voit sa peau violette et ses cornes... Outch, il avait faillit oublier. Il fait alors demi-tour, attrape une pilule nommée TAKE THE PILLS et l'avale d'un coup.

Le latino aux cheveux noirs et sans cornes s'étire donc, attrapant son portable, ses écouteurs, ses clés ainsi qu'un billet de dix avant d'enfin sortir de chez lui, enfonçant un bonnet sur sa tête. Sa peau basanée et ses tatouages qui montait jusqu'à son œil droit contrastaient avec les couloirs blancs crème. Il pose une paire de lunette de soleil sur son nez avant de sortir, pianotant sur son portable. Il se dirigeait vers la station de Tram la plus proche mais il fit une halte sur le chemin.

Il faisait sa halte quotidienne au Starbuck, se commandant son grand Cappuccino avec un cookie triple chocolat. Ce sont les seuls écarts de la journée qu'il se permet. Il grimpe alors dans le tram, mettant ses écouteurs dans ses oreilles avant de boire et manger jusqu'à la station qui déservait le Chicory Park. Comme d'habitude il y a toujours les mêmes types de personnes dans le tram et il passait près de son entreprise. Même en week-end il doit voir l'immeuble qui est son boulot. Ca le désespère.

Une fois arrivé à destination, il sort du tram, jetant son gobelet et son sachet en papier tout les deux vides, inspirant une grande bouffée d'air froid, il entre dans le parc, commençant à courir. Alors qu'il avait seulement couru l'échauffement, ses yeux bruns clairs tombent sur une fille qu'il ne connait que trop bien. Gabrielle. Alors il court vers elle, venant lui toper l'épaule.


- Hey beauté~ Comment tu vas? Courrons ensemble~

Il riait, retirant ses écouteurs avant de regarder la jeune femme, s'étirant encore une fois.

- Pwah! Je me suis couché trop tard ce matin... Je me suis réveillé à quatorze heures alors allons-y mollo pour le début Chérie, je ne pourrais pas suivre le rythme malgré mon Cappuccino ~
@Gabybaby Theme Song
Awful
Dim 17 Nov - 21:46
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Gabrielle O'brien
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Gabrielle O'brien
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Un bip. Puis deux. Trois. Ma main vient taper ce satané réveil que je fais tomber sur le sol. Comme chaque matin. Un soupire puis me voilà assise sur le bord du lit. J'enfile mes prothèses et me voilà enfin sur pied. Sans mauvais jeux de mots. Il n'est que huit heures. Je pourrais dormir un peu plus, mais je n'en ressens pas le besoin. Non. Plus depuis bien longtemps. La vie de militaire n'est pas de tout repos. Le corps s'habitue. Il prend de nombreuses habitudes. Et le mien ne fait pas partie de l'exception. Je marche lentement vers la petite pièce qui me sert de cuisine et me sers un café bien corsé. J'allume ensuite la télévision et écoute les nouvelles. Rien de bien nouveau. Un cambriolage, une ou deux agressions par-ci par-là les réclamations du peuple et la météo. RAS. Comme tous les matins. Bordel... Je n'aime pas les jours de repos. Il n'y a strictement rien à faire. Et comme chaque week-end, je vais suivre un programme que j'ai établie moi-même. Il faut bien que je fasse quelque chose. Interdiction de rester affalé sur le canapé. Aller. Un peu de motivation.

Premièrement, une douche. Je me sentirais un minimum réveillé et plus en forme. J'avale mon café d'une traite et pose ma tasse blanche sur la table basse. Maintenant, direction la chambre pour le choix des vêtements. Un tee-shirt blanc tout simple et un legging noir pour le sport. Parfait. Je vérifie sur mon calepin mes activités de cette après-midi et m'assure de mettre la bonne tenue, ce qui est le cas. Je me dépêche alors de rejoindre la salle de bain et sans attendre, je me déshabille. Mon regard croise le reflet que me renvoie le miroir. Une peau blanche habillée de jolies cicatrices, un visage froid, pâle, souligné de cernes violette et des cheveux en bataille, noir et bien lisses. On fait tout de même mieux niveau beauté. Je rentre dans la cabine de douche, là ou une chaise en plastique m'attend. Je m'assois puis ôte mes prothèses que je pose à côté de cette cabine un peu trop grande à mon goût. J'ai toujours cette impression d'avoir encore mes chevilles... Mes pieds. J'ai mal parfois. Mal de ce vide. Une douleur réelle et très forte. Mon cerveau doit être bousillé. Comment peut-on avoir mal là ou il n'y a plus rien ? C'est complètement débile. Enfin... J'allume l'eau et prends une douche rapide. Bizarrement, c'est bien le seul moment où je me sens détendu. Je devrais pourtant me sentir ... Faible. Sans défense. Vulnérable. Non. Ce n'est pas le cas. J'aime cette sensation de caresse sur ma peau. De chaleur. J'ai l'impression d'oublier, ne serais-ce qu'un petit moment, tout ce que j'ai vécu, ce que je vis aujourd'hui. Je prends ma serviette et me sèche rapidement pour pouvoir remettre la partie manquante de mes jambes. J'enfile mes vêtements et une fois mes cheveux et dents brossés je n'ai plus qu'à me rendre de nouveau sur mon canapé. Une fois de plus. Il faut bien entretenir mes jolies prothèses après tout. Alors je les nettoies. Frotte et aiguise les lames.

Cette mâtinée est une des plus calmes que j'ai eu. Je n'ai trop rien à faire. Je m'occupe de moi. De cet appartement. Et lorsque mes petites occupations sont toutes terminées, il est 13 h passé. L'heure de sortir et de faire du sport. Je n'attends pas plus longtemps et en deux petites minutes, me voilà en route. J'arrive au parc en une quinzaine de minutes. Il y a déjà pas mal de monde. J'aurais peut-être dû y aller ce matin. Je sens déjà les regards tournés vers ma personne. Ce serait flatteur si je n'avais pas mes prothèses. Sûrement. Mais là je suis juste agacée. Il faut que je m'y mette. Je serais plus détendu et je serais surtout concentré sur autre chose. Programme du jour : Une série d'exercice de 40 minutes. C'est partie.

La séance se passe plutôt bien. Je souffre, je me donne à fond et c'est ça que je recherche. Il faut que je puisse me battre correctement. Je ne veux surtout pas être un boulet pour mes coéquipiers. Je ne le permettrais pas. Jamais. S'il devait arriver quoi que ce soit à un membre de cette entreprise, par ma faute... Non. Il ne vaut mieux pas y penser. Alors je m'étire. Longuement. Je reprends mon souffle. C'est pile lorsque j'ai terminé que je te vois arrivé. Sourire aux lèvres comme à ton habitude. Et comme à ton habitude justement, j'ai le droit à ce surnom débile. Beauté. Je n'ai rien d'une "beauté". Mais je ne dis rien. Sûrement affectif. Je serre les dents et te salue de la main.

- Amadeo. Je vais bien, merci. Et toi ? Tu as l'air... épuisé ? Sans vouloir sembler blessante bien sûr.

Effectivement. Tu as l'air de ne pas avoir tellement dormis. Et ta réponse me confirme mes doutes. "Pwah! Je me suis couché trop tard ce matin... Je me suis réveillé à quatorze heures alors allons-y mollo pour le début Chérie, je ne pourrais pas suivre le rythme malgré mon Cappuccino ". Chérie ?... Je ferme les yeux, un sourire crispé sur le visage et respire un grand coup. On reste calme ma grande. Amadeo est ton... ami ? Oui. C'est gentil un surnom. C'est affectif. Calme. Aller. Il veut courir. On va courir. Pauvre jeune homme... C'est que j'ai beaucoup d'entraînement derrière moi. Je n'y peux rien s'il va souffrir un peu. Bon. Je dois avouer qu'il n'est pas mauvais non plus. C'est vrai.

- Je me disais aussi... Qu'est ce que tu as fais pour te coucher si tard ? Oh et je vais être gentille et courir un peu moins vite que d'habitude. Mais sache que j'ai horreur de traîner des pieds... Alors essaye de suivre le rythme... "chéri".

Je te lance un clin d'oeil et un sourire ravageur. Quand j'y pense... jamais je n'aurais imaginé qu'Amadeo et moi puissions devenir des amis. Ou ne serais-ce que des connaissances. Nous faisons du sport ensemble depuis ... quelques semaines déjà. Et malgré ces surnoms agaçants, je l'apprécie. Mais bref. Je m'engage alors sur la "piste" et ralentie mon rythme habituel pour que monsieur puisse suivre.

- Alors, dis moi, tu comptes faire quelque chose de ton week-end déjà bien entamé ? A part ronflé je veux dire ... Une demoiselle à aller courtiser peut-être ? Un beau-père à persuader ?  

Un sourire se dessine sur mes lèvres et je me concentre alors sur ma respiration.

Lun 18 Nov - 0:00
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