- Il recueille beaucoup de chiens errants. - Il sent la violette et le chien mouillé. - Il a été condamné pour vol de courrier. Il a encore tendance à voler celui de ses voisins quand il peut. - Il est plutôt jovial et dragueur quand il a un coup dans le nez. Mais en général il drague avec des blagues de beauf. - Il ne supporte pas le bruit des pommes crues.
Feat : Will Graham par Simrell
T'as quoi dans la tête mon chou ?
Froid • torturé • dénué de sens moral • curieux • alcoolique • maladroit • solitaire • cynique • intelligent • distrait
- Que pensez-vous de l'Entreprise avant de savoir ce qui se passait dedans ? Je n'y ai jamais vraiment prêté attention. - Si vous le savez, maintenant, qu'en pensez-vous ? C'est confusant, une remise en question de tout ce à quoi je croyais. - Si vous deviez soutenir quelqu'un dans une guerre ouverte, serait-ce Le Diable, L'Ange Gabrielle ou La Faucheuse ? Et pourquoi ? Je pencherai davantage du côté du Diable, par simple curiosité malsaine. - Pensez-vous que la disparition des Dinosaures est une tragédie ? Oui. - Quel serait votre repas de condamné à mort ? Une soupe au potiron. - Si vous deviez vous décrire, quel serait votre principale qualité ? Et votre principal défaut ? Probablement ma curiosité, en réponse aux deux questions. - Vous auriez plutôt tendance lors d'une fête à vous placer au centre de la pièce ou plutôt contre les murs ? Pourquoi aller à une fête ? Les interactions sociales ne sont pas faites pour moi. - Quel est votre style de films – séries - jeux-vidéos – lectures – musiques favoris ? Probablement tout ce qui touche à l'horreur et au macabre. - Quels sont vos odeurs favorites ? Celle de la violette. - Vous jouez/aimeriez jouer de quels instruments ? De tout, mais principalement du violon et du piano. Mal. - Vous voulez des enfants, vous marier, avoir des clôtures blanches et adopter un boxer un peu con ? J'ai déjà donné et du mal à gérer. - Votre chanson culte et votre chanson honteuse ? Vous en avez des questions... Probablement The Sound Of Silence. Et la chanson honteuse, Lips like morphine. - Vous trouvez-vous beau ? ... - Si vous étiez un animal, lequel seriez-vous ? Un chien. - Vous préféreriez être Hercule Poirot ou Sherlock Holmes ? Sherlock. - DC ou Marvel ? DC :T - Vous êtes plutôt travailleurs ou paresseux ? Travailleur. - Si vous étiez un péché capital, lequel seriez-vous ? La colère. - Vous êtes un oiseau nocturne ou un lève tôt ? Oiseau nocturne. - Quel serait votre journée parfaite ? Une nuit imparfaite. - Quel est votre fête populaire/religieuse favorite ? L'Oktoberfest. - Quels sont vos passes-temps ? Lire, écrire, dessiner. - Aimez-vous votre métier ? Non. - Auriez-vous une recommandation à faire à l'Entreprise ? Non.
Et ton histoire, tu la raconterais comment ?
Je vous épargnerai le récit détaillé de l'enfance d'Hybris, qui est somme toute plutôt plat. Né dans une bourgade reculée d'Irlande, Hybris était le seul enfant d'une femme seule, obsédée par sa progéniture et sa soit disant ressemblance avec l'homme qu'elle avait aimé. Il grandit baigné dans de vieilles croyances, une vie rythmée par les prières d'Abigail Nepenthes, sa génitrice. Le village n'était pas bien animé, mais la bigote se tenait en marge de cette société décadente, marmonnant sans cesse qu'ils brûleraient tous dans les feux de l'enfer, son père et l'"Autre" y compris. Abigail s'évertuait à garder son enfant à ses côtés, comme un bien trop précieux que le moindre contact avec le monde extérieur pourrait souiller. La vérité était moins mystique, elle avait simplement peur de se retrouver à nouveau seule et s'accrochait désespérément à ce pauvre être qu'elle considérait comme sien. Hybris rencontra son géniteur plus tard, au vu de l'âge de ses "batârds", plus avancé que le sien, il put constater qu'en réalité l'"Autre" était sa mère et que la femme accrochée à son bras était la victime. Il put aussi constater que contrairement aux dires de sa mère, il ne lui ressemblait que peu, ces yeux qu'elle prétendait aussi clairs que ceux de l'enfant étaient sombres, sans compter sa taille qui n'avait rien d'exceptionnel contrairement à ce qu'elle racontait. Il n'en parla jamais à sa mère, convaincu qu'elle cherchait juste à rendre cette triste réalité plus supportable, bien que quelques incidents lui indiquaient que cette fiction était devenue plus que réelle pour sa mère et qu'elle perdait l'esprit. Du moins, c'est ce qu'ils se seraient dit s'il avait eut le moindre élément de comparaison, il se contentait d'analyser et d'écouter sagement les divagations de la femme. La seule certitude qu'il avait était qu'elle pensait bien agir, elle aimait son fils et aspirait au mieux pour lui. Si bien que lorsqu'elle l'estima suffisamment fort pour résister à la corruption du monde extérieur, elle le poussa à prendre son envol.
Hybris se lança donc dans la vie avec une certaine aversion pour les écrits saints et une profonde méconnaissance du monde et de ses mœurs. Il va sans dire que son envol déboucha sur une chute assez grotesque. Hybris quitta l'Irlande pour les Etats-Unis, terre promise de prospérité, Eden parsemé de viles tentations. Les dix neuf années de lavage de cervelle opéré par la voix doucereuse de sa génitrice ne surent le tenir bien longtemps éloigné des chemins sordides du malin, pour ne pas dire que le jeune homme avide d'expérience s'y jeta à pieds joints. Quelques cachets, plusieurs verres et de mauvaises fréquentations le menèrent jusqu'à Vegas, quitte à faire dans le cliché, autant bien le faire non? Donc jetons-nous à corps perdu dans cette absurde aventure, une vingtaine d'années d'existence et Hybris quitta le désert bruyant et bariolé la bague au doigt. Elle s'appelait Eva, sa femme pas la bague, un physique plutôt banal, le genre de femme qui hantait ce genre d'endroit, de longs cheveux bruns et la dégaine typique des femmes ravagées par la vie. Il ne savait rien d'elle, si ça n'est que le peu de cheveux gris qui restaient à sa génitrice se seraient fait blancs en découvrant sa belle-fille. C'était suffisant. Eva était le genre de femme improbable, un peu mystérieuse et étrange... Sous certains aspects, elle lui rappelait sa mère et il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il l'assimile à cette figure familière, comme un vieux meuble ayant toujours fait partie du décor. La brune avait des côtés surprenants qui cependant n'étonnaient guère le jeune homme, du fait du manque d'intérêt qu'il avait à son égard. Ce dernier point était probablement la seule chose qui fit durer leur union, le jeune homme était pratique, et n'avait pas les inconvénients de la plupart des amants, bien qu'il en ait d'autres comme ses sessions nocturnes d'archet qui sonnaient horriblement faux, ou ses longs monologues au cours desquels il se perdait dans des divagations métaphysiques... Mais ils étaient avant tout deux âmes perdues, n'ayant pas de place dans ce monde, se contentant de se tenir compagnie dans leur solitude, terriblement proche, mais ne partageant pas davantage de liens.
Lorsque son époux perdit son emploi de bibliothécaire Eva lui proposa de se former à son métier, un nouveau monde s'offrit à lui... Embaumeur. C'était un intitulé fleurant bon le mystère, un mot aux senteurs exotiques, un fumet d'Egypte ancienne nappé d'une fragrance de malédiction. La vie après la mort... Les douces sonorités ayant bercé son enfance. Malgré son aversion pour toutes les convictions ayant bercé son enfance cette perspective piqua sa curiosité. Il aurait voulu ressentir quelque chose de plus romanesque, un soupçon d'envolée lyrique, lui qui n'avait connu le monde qu'à travers des pages jaunies, il ne rencontra là que l'odeur entêtante de la violette. C'est bien plus tard qu'il découvrit la véritable odeur de la mort, le parfum écœurant de la putréfaction. Au cours de sa deuxième année d'études, ses mauvaises fréquentations le menèrent à un nouveau tournant de son existence. Grandit de ses cours d'anatomie, médecine légale et autres disciplines, et encouragé par quelques connaissances, il se présentait comme médecin, alors bien vite certains y virent un moyen de se faire facilement de l'argent. "Trafic d'organes", ça sonnait bien, terriblement bien. Si bien qu'ils se lancèrent dans l'aventure sans se poser de questions, après tout, tout le monde était gagnant. C'était ce qu'ils se disaient jusqu'à la première intervention lors d'un voyage en Asie, le premier cœur qui s'arrêta de battre sur la table bancale de la salle d'opération improvisée. Ils persévérèrent, changeant de destination et enchaînant les déplacements, mais ils finirent par être arrêtés. À vingt-cinq ans Hybris fut condamné à quatre ans d'enfermement. Bien qu'il ait enfreint plusieurs lois fédérales, aucun décès n'ayant été lié à ses crimes, il a été conclu qu'une expulsion du territoire n'était pas justifiée.
Eva ne vint jamais le voir, il se contentait de communiquer avec sa mère qui perdit la vie peu après sa libération. À sa sortie, Eva était toujours là, égale à elle-même, elle ne lui fit aucune remarque, et ils reprirent leur vie comme si de rien n'était. Un temps. Hybris retourna en Irlande pour l'enterrement d'Abigail, après quoi il ressentit le besoin de découvrir le monde, d'accomplir quelque chose, il partit vers l'ouest, vivre le rêve américain, il s'essaya à diverses professions et disciplines sans jamais trouver chaussure à son pied. Sa vie était vide, et cela se fit davantage ressentir le jour où il reçut pour la première fois une lettre de son épouse. Divorce. Un mot de sept lettres, si vide de sens pour lui. C'est à ce moment, où il était seul et vulnérable qu'il la rencontra, sa tendre diablesse. Lulla.
Il s'était rendu à la Nouvelle Orléans, terre promise de mysticisme où un soupçon de vin de messe venait se mêler à une pointe de juju. Hérésie. Délicieuse extase. Le carnaval battait son plein dans ses tempes. Il avait 28 ans, et lu assez de bouquins qui parlaient de cet endroit, entendu assez de rumeurs, pour vouloir se perdre dans les humeurs de la ville, et s'agiter comme tous les autres gamins perdus du Vieux Carré. Il s'y est jeté à corps perdu, s’enivrant d'alcool à même les goulots, de verre ou les lèvres chaudes, enfilant les colliers jetés des chars, se parant du violet, de l'or et du vert du Mardi Gras...Il jouissait de cette liberté nouvelle et folle, jusque'à s'enfoncer lui aussi dans les affres délicieuses de la fée verte. C'est dans cette foule, le crâne extasié et l'esprit survolté, qu'il a croisé son regard.
Sa Lulla. Elle avait cette lueur sauvage dans le regard. Un présage d’emmerdes alors que lui, il cherchais que ça, se sortir d’un quotidien morose. Lui, le type à la vie trop banale, pur produit de l'éducation chrétienne... Il a foncé à tête baissée dans ses bras, parce qu’il n’y avait que contre son corps qu'il se sentais vivant... Parce qu’elle avait au moins autant besoin de lui qu'il en avait d’elle. Elle avait la rage au cœur, ce fort sentiment d’injustice qui lui collait à l’être et qui l’animait, lui, celui qui ne cherchait qu’une raison d’exister. Il a tout donné pour ses convictions, les as épousées sans jamais se poser de questions. Il descendait dans les rues, militais à coup de tags sur les murs, de barre à mine - ça lui a d'ailleurs valu quelques ennuis avec la justice... - Sacrifiant son audition sur l'autel de la techno, son esprits sur celui de leurs spiritueuses déglutitions plutôt que de réellement faire bouger les choses. Il avait abandonné ses anciennes addictions pour de nouveaux paradis artificiels. Coupé définitivement les ponts avec les quelques relations qu'il entretenait. Lulla, elle le voulait entier, alors, il lui a tout donné. Ils s’aimaient à deux, comme des malheureux. Lulla c’était son diable, son héroïne, sa nicotine, celle qui hantait ses veines, qui l’a crevé jusqu’à la moelle. Elle était là, au plus profond de son cœur, cette haine qui l'a consumé et recouvert cet amour inouï qu'il lui vouait jusqu'à t'étouffer.
Lulla c’était sa poupée de velours, aux mots acérés qui écorchaient ces lèvres trop parfaites. Qu'est ce qu'elle aimait ça, détruire les images. Prendre les cœurs pour les écraser. Ils étaient deux êtres brisés tentant désespérément de faire coller leurs fêlures pour mieux se compléter, s'abîmer un peu plus l’un l’autre pour mieux être ensemble. Ils étaient bien trop cons et bien trop jeunes, ils rêvaient de faire comme dans les films, de tragédies, de finir la gueule en sang. Sortir d'un bâtiment en flammes un flingue en main, un sac de thunes dans l'autre. Insulter les flics et se jeter dans la mêlée. Ils avaient tout fait pour fuir le bonheur surfait qui leur pendait au nez. Ils étaient heureux à leur façon, un bonheur inconnu au reste du monde. Il faisait tout pour s'en convaincre, entêté qu'il était.
Un cri, strident qui vient déchirer la nuit, il perce l’horizon, ce jour qui se lève et balaye l’espoir emmené par cette nouvelle aube. L’enfant crie tandis qu’agonise la mère, le corps déchiré qu’elle traîne depuis trop longtemps déjà, lentement, elle se laisse glisser dans les bras de cet ange de malheur qui éteint tous les lendemains. Le coeur d'Hybris s’arrête avec le sien, avec le premier battement de cœur de Caddie, ce nom qui le faisait rire autrefois n’a plus rien de drôle sous le linceul blanc qui prend place sur le visage de ta Lulla au sourire éteint. Il n'a jamais su afficher de sourires si ça n’était en réponse aux siens et là, Lulla n’est plus. Elle était fatiguée, sa femme, une mère amère, morte désormais. Il ne trouves plus ses traits doux sur son visage fatigué par une vie passée à subir. Pourtant, il le ressent, tout son amour pour ce petit être qu'ils ont créé à deux, cette connerie, l’espoir débile d’un monde meilleur où elle pourrait grandir heureuse.
Aujourd’hui, l’ivresse anime son corps alors qu'il vagabonde en ce monde tel un chien errant, qu'il se traîne dans les ruelles, un goût d’amertume sur sa langue écorchée. A chaque crépuscule il perd davantage pied avec la réalité, il n’y a que Caddie qui l’y raccroche encore un peu, à cette vie sans elle, cette vie où il ne s'y retrouve plus et tout te semble avoir le goût de cendres. Autrefois, il luttait pour Lulla, pour cet enfant auquel elle voulait offrir un monde libre, mais il s'est perdu sur ce lit d’hôpital, balayé par ses dernières expirations, vidé de toute envie. Il boit, la nuit, pour ne pas hurler une fois que Caddie s’est endormie, il ne la vois pas se glisser hors de son lit, écouter les bouteilles qui roulent rythmées par les cliquetis de la pendule sans jamais oser franchir la porte pour lui montrer qu’elle est là, être ton ancre dans les ténèbres, mais elle ne comprend pas, Caddie, c’est une enfant, et lui est trop con pour se sortir de sa léthargie. Il se contente de laisser sa bile d'amertume s'écouler depuis ses doigts, noircir les pages ses pensées les plus noires, parfois teintées d’élans de folie, lorsqu'il se laisse emporter par les rêveries sombres que lui inspirait Lulla de son vivant. Y a même des jours où il a l'impression de la retrouver, au fond de son verre, d'entendre sa voix qui lui glisse des idées, comme autrefois. Alors il s'y accroche. Alors il boit. Pour se souvenir et oublier à la fois, il ne sait plus, ne veut plus savoir. Il se contente de se laisser porter par les flots délétères de la fée verte. Alors il écrit, n'importe quoi, offrant au monde l'incohérence de son esprit malade.
Lorsque le jour se lève, il enfouit des tourments, même si elle peut les lire derrière ses verres noircis, Caddie sait, malgré son jeune âge, malgré le fait qu'il ne lui ait jamais donné l'occasion de le connaître. Elle sait qu'il ment, il le voit dans son regard, et ça le terrifie. Par ce qu'elle est plus mature que lui. Par ce qu'elle l'aime malgré ses tares et sa connerie, et qu'il n'aie jamais su être le père qu'elle méritait. Qu'il n'y arrive tout simplement pas. Elle ne le lui demande pas et ça lui fend le cœur. Cette gamine, il n'arrive pas à l'aimer, il sait pas comment on fait. Avec Lulla c'était tordu, elle ne lui a jamais appris comment bien se comporter. Il essaie, il joue avec elle, mais il sent que quelque chose cloche. Ce mal-être qui lui prend les tripes et qui lui glisse que ça devrait être mieux. Qu'enfouir la peine et jouer les pères lorsque le soleil est levé ça ne suffira jamais. Ça le bouffe. Parce qu'il est trop con. Parce que c'est un gosse. Une loque qui se cherche encore. Alors comment pourrait-il façonner une personne, lui, le con qui n'est rien ? Caddie elle y croit, elle l'aime, sa fille, comme jamais Lulla n'aurait pu le faire, elle n'a que lui, mais ça, il est encore incapable de le voir, ou plutôt de l'accepter. Il devrait se relever, se battre et faire face. Mais il n'en a aucune envie. C'est un lâche qui fuit.
Et puis, elle est venue, encore, sans crier gare. La Faucheuse. Elle a pris la forme d'un poids lourd qu'à plus les freins. C'était brutal. Tu pouvais pas l'abandonner, Caddie. Juste lâcher prise comme Lulla l'avait fait... Alors t'as signé.
BAS LES MASQUES !
Pseudo : Rys. Age : 27 ans. Genre : F. Comment t'as découvert le forum ? : Facebook. Et pour la route ? :
- Je ne devais pas m'inscrire, juste faire une demande de partenariat, mais vos prédéfinis ont eu raison de moi xD (et n'arrivant pas à choisir je pars sur un inventé, logique...)
Lieu d'Habitation : Cuirs et Moustaches, son bureau c'est son lieu de vie principal (Bon ok il a aussi un appart gigantesque à Cercueils tout Confort où il rêve d’amener son crush.)
Métier(s) / Etude(s) : Grand Intendant à la Sécurité et à la Vidéosurveillance
Un petit quelque chose en plus ? : Non j'ai pas le temps.
Age (Joueur) : 29
Tueur de Dinosaures - ☠
Zzeit Zeitlosen
Coucou toi Bienvenue chez nous, je suis content que tu te sois finalement laissée tenter Et quelle jolie plume, et quel joli choix d'avatar, et quelles références, héhéhé tu as réveillé ma curiosité félicitations ! Puisse ta mort être longue et pleine de joie !
Je m'occuperais de ta fiche, si tu as la moindre question ou suggestion, n'hésite surtout pas !
Un petit quelque chose en plus ? : Merci à Zzeit pour les avatars ♥
Légiste Alcoolique
Hybris W. Nepenthes
Fouah oui, le forum est génial, j'ai même pas pris le temps de faire ma demande de partenariat xD (et vos prédefs sont en or ) Merci beaucoup pour cet accueil! :D
Métier(s) / Etude(s) : Commandante - Chasseuse de Poltergeist et de CDNO
Avatar : Starfire - TEEN TITANS - @Zula
Tu peux RP en ce moment ? : Bien sûr ♥
Age (Joueur) : 29
Bonbon Rose - ☠
Marabella-Rose Canterbury
Bienvenue ! Ouah je suis contente que tu ais autant apprécié nos prédéfinis ! Nous y avons passé du temps ! Et puis que tu te sois inscrit aussi ! J'adore le début de ta fiche, j'adore ton personnage et ton avatar ! Encore bienvenue et n'hésite pas si tu as des question !
Un petit quelque chose en plus ? : Merci à Zzeit pour les avatars ♥
Légiste Alcoolique
Hybris W. Nepenthes
Merci beaucoup pour l'accueil! Ça se voit que vous y avez passé du temps, ils sont bien construits et super intéressants!
J'espère que ma fiche conviendra et que je ne ferais pas trop de bourdes (pardon par avance pour la longueur hahaha...)
EDIT J'ai fini, j'espère que ça ira :s
Sam 9 Nov - 13:29
Messages : 20
Date d'inscription : 17/08/2019
Métier(s) / Etude(s) : Advertising Designer
Avatar : Tom Marvolo Riddle - @Zula merciiiii
Tu peux RP en ce moment ? : Yupe
Age (Joueur) : 29
Pascal le Grand Frère - ☠
Arìstós A. Anastópoulos
YOU NAILED IT
Alors ça fait quoi d'être mort ?♪
ET BEN, Bravo ! J'ai adoré ton histoire très fluide, très poétique, très bien écrite ! Si bien que j'ai fait attendre mon mur héhéhé. Ce personnage a beaucoup de profondeur, ça fait plaisir, et je trouve que tu as très bien creusé toute sa psychologie ! Je serais ravi de te proposer un lien et quelques RPS si le cœur t'en dit, parce qu'au fond moi les hommes torturés, paumés et un peu morbides c'est toute ma vie. J'ai hâte de voir ce que va donner ce jeune légiste père de famille sur le forum, alors j'espère que tu te plairas ici pour longtemps !
Bravo mon chou ! Te voilà validé/e. Tu vas pouvoir en faire des choses ! Comme fêter ça autour d'une bonne bière avec la Faucheuse, ou inventer de nouvelles théories du complot avec Kai ! Tu peux même tenter de faire perdre son temps au Temps, ou allez tenter de charmer Azazel. ~
(A tes risques et périls, l'assurance de l'ULTIMATE Death Compagny ne prend pas en compte les blessures encourues au sein de l'entreprise. Ouais. La couverture sociale est pas ouf.)
Mais bon, allez, vu qu'on est des gentils, on va pas te lâcher dans le grand bain sans parachute !
- Ici tu peux recenser ton avatar ! - Ici tu peux recenser ton métier ! - Là juste là, tu peux faire diverses demandes comme un logement, un rang spécifique, une recherche de liens, de Rp ? Y'a qu'à demander. Tu peux aussi venir te plaindre des choux de Bruxelles à la cafét si ça te chantes. Pas de formulaire mon petit chat, laisse parler ton cœur ! - Ici tu peux aller te faire des amis, ou manger des curlys... au choix. - Là tu peux organiser des Meetings de folie ! Et aussi t'inscrire aux events ~ - Par là tu peux passer à la happy technologie ~ - De ce côté c'est pour toujours te tenir au courant de ce qui se passe sur le forum ~ - Juste ici c'est au cas où un des membres du staff est pris d'une folle inspiration et ressent le besoin de vous annoncer un truc de dingue. Sisi. Je te jure. - Ici tu peux poser un RTT ou signaler un congé maladie. - Ici tu peux démissionner si le cœur t'en dit (mais juste après la validation ce serait pas très logique Jean-Eude.)
Mais surtout, surtout si tu veux nous crier ton amour et rameuter de nouveaux copains/copines, c'est juste là !
Amuse toi bien sur Dear Reaper! Des bisous, ton Staff préféré